Cher Edouard,
Je regrette tant de n’avoir rien su de votre maladie, je me serais manifestée car votre personnalité rare, si sympathique et délicate, cette belle humeur permanente, ce bien faire absolu, enfin votre total dévouement au Cercle et à nous, ses membres me touchaient infiniment.
J’aurais vraiment aimé mieux vous connaître, on ne sait jamais quand le temps presse..
Une phrase de la Bible est : « La vraie mort c’est l’oubli »
Edouard, je ne vous oublierai pas.